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Au sommaire :

- Lille n'est plus seul : le CFP de Toulouse nous rejoint sur la toile (janvier 2001).
- Le CFP d'Hérouville-Saint-Clair recherche ses anciens élèves !
(mars 2000)
- concours spécial institueur, où en sommes-nous ? (janvier 2000)
- concours spécial instituteur, les craintes des étudiants de Brest (novembre 1999)
- Les résultats du CFP de Lille (juin 1999) ... cliquez !
- L'enseignement catholique sur l'Internet avec France Télécom (04/05/99)

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Fl27.gif (221 bytes) Le CFP de Grenoble inaugure son site !

Après le CFP de Lille, et quelques autres collègues faisant leurs premiers pas sur Internet, le CFP de Grenoble fait son entrée "virtuelle" avec prestige, grâce à un site professionnel qui vous présente toutes les rubriques que vous attendez si vous voulez mieux connnaître ce centre de formation, ses objectifs et quelques aspects pratiques.

Rendez-vous à cette adresse pour visiter : www.isfp38.org
Cette adresse est à retrouver dans nos rubriques "autres CFP" et "Liens".

Janvier 2001

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Fl27.gif (221 bytes) Le CFP d'Hérouville-Saint-Clair recherche ses anciens élèves !

Avis à ceux qui auraient passé quelques longues heures studieuses sur les bancs du CFP d'Hérouville-Saint-Clair (14). Nous essayons de retrouver les anciens! Donc, si vous en êtes, rendez-vous à anciens_cfp14@club.voila.fr .

Mars 2000

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Fl27.gif (221 bytes) Concours instituteur : faisons le point !

Paru dans SNEC informations, en décembre 1999.

Qui aurait pensé que l‘application d’une mesure relative à la résorption de l’emploi précaire dans le premier degré puisse déclencher autant de réactions ? Et pourtant !

Du scepticisme à la perte de self-control !

En novembre 98, par sa revue nationale no 238, le SNEC-CFTC faisait savoir que, pour donner suite à sa demande, le ministère acceptait de transposer le principe du "concours instituteur" à l’enseignement privé et s’engageait à organiser une concertation pour adapter la mesure.
Le SGEC n’étant pas demandeur, les autres syndicats de la profession ne s’étant pas exprimés sur la question, "certaines voix autorisées" de l’enseignement catholique ont, sinon mis en doute cette information, du moins fait preuve de scepticisme quant à son application à venir. Cependant, dans le même temps, prétextant une hypothétique circulaire ministérielle, il est des responsables locaux qui, prudence oblige, ont décidé d’une durée maximale de suppléances comme si, pour prévenir toute difficulté, ils entendaient imposer d’entrée une diminution du nombre de possibilités offertes à ceux qui, parfois durant un nombre significatif d'années, ont rendu service avec une compétence reconnue.
Aujourd’hui, bien que les conclusions des réunions de concertation
convoquées en juillet 99 (SNEC INFO no 244) et en octobre dernier demeurent discrètes du fait de l’absence de procès-verbal officiel, "ces mêmes voix" deviennent alarmistes. Elles expriment sinon leur désaccord du moins leur crainte que, de façon étrange, elles cherchent parfois à communiquer aux étudiants de CFPP...

Les faits

Parce que directement mis en cause ici ou là, le SNEC-CFTC juge nécessaire de publier une mise au point destinée à apporter les apaisements qui s’imposent quant à l’organisation de ce "concours instituteurs". Lors d’une entrevue obtenue à sa demande le 22.09.99 avec l’ensemble des responsables du ministère, ses représentants ont saisi l’occasion de rappeler leur position et de faire état de propositions. D’entrée, ils ont fait part de leur préoccupation quant au nombre de départements à retenir.
Pour ne pas perturber le nombre d’entrées dans la profession par la voie normale (CFPP), pour ne pas générer des difficultés dans la gestion des emplois au niveau des commissions départementales, ils ont demandé que le nombre de possibilités offertes soit adapté tant aux besoins qu’aux possibilités offertes localement puisque le nombre de lauréats sera fonction des résultats et des postes vacants.
Dans cette perspective, ils ont proposé une augmentation significative du nombre de départements (au moins 26, au lieu des 6 puis 13 retenus pour l’enseignement public). Les réponses obtenues à cette occasion ont été jugées rassurantes puisque :
En premier lieu, il a été rappelé qu’il convient de ne pas faire l’amalgame entre le nombre de places offertes au "concours CAPE" et celui prévu au "concours instituteurs". Dans le premier cas, la quotité est déterminée par le nombre de départs en retraite effectifs. Dans le second cas, elle est retenue à partir du nombre d’emplois vacants non pourvus dans les départements déficitaires. En conséquence, dans la mesure où chaque concours respecte les critères, il n’y a pas lieu de craindre que l’un soit organisé au détriment de l’autre !
Dans un second temps, le ministère s’est déclaré intéressé par la proposition du SNEC-CFTC pour arrêter le nombre de départements.

Les conclusions de la réunion du 22 octobre dernier allant dans le sens souhaité, il y a lieu d’admettre que la demande du SNEC-CFTC ne tient pas seulement compte de l’intérêt des suppléants mais aussi de celui dicté tant par les besoins de la formation initiale que par la gestion de l’emploi des maîtres en place.

J.M. LOTHIER
Décembre 1999

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Fl27.gif (221 bytes) Les craintes des étudiants du CFP de Brest à propos du concours spécial instituteur.

Chers collègues,

Nous sommes en première année au CFP de Brest et nous voudrions vous faire part de nos inquiétudes.
En effet, le Ministère de l'Education Nationale a décidé de mettre en place un concours interne d'instituteurs qui est appelé : "concours spécial pour le recrutement d'instituteurs" (BO n° 30 du 2 septembre 1999). Notre département, le Finistère, est comme le département du Nord concerné par ce concours qui s'appliquerait dès cette année (le conditionnel est à employer car la décision définitive se fera avant le 1er décembre).
Cette mesure n'est pas sans conséquence et va à l'encontre des textes officiels qui préconisent la professionnalisation. De plus, elle semble illogique en créant ,de nouveau, un statut d'instituteurs. Cependant, il est vrai que des mesures devaient être prises afin de réduire la précarité du statut de suppléant (nous n'oublions pas que certains d'entre nous sont d'anciens suppléants). Mais nous pensons  que ce concours risque de ne pas atteindre réellement ses objectifs : car même s'il a d'abord été créé pour les suppléants qui n'ont que le baccalauréat, il sera également ouvert aux autres suppléants, et qui ont eux-aussi de grandes chances de le réussir.

Si ce concours est ouvert dès cette année et organisé en juin 2000, il risque de se faire au détriment du concours externe ; et c'est pourquoi nous tenons à nous mobiliser et à nous montrer vigilants sur cette délicate question.
Tout comme nous, vous êtes donc concernés par la mise en place de ce concours et les conséquences qui risquent d'en résulter.Nous aimerions donc connaître votre point de vue et si nécessaire nous mobiliser conjointement et rapidement (la décision va se faire durant les prochains jours). Nous essayons également deprendre contact avec les CFP des autres départements concernés : La Réunion, la Haute-Loire, le Rhône et l'Ardèche.

Merci donc de réfléchir avec nous afin de tenter de trouver une solution à ces mesures.

CFP1 de Brest, 17/11/1999

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Fl27.gif (221 bytes) L'enseignement catholique sur l'internet avec France Télécom

4 mai 1999 (AFP) -" Le secrétaire général de l'enseignement catholique, Pierre Daniel, a signé mardi au Raincy (Seine-Saint-Denis) un accord de partenariat avec France Télécom pour favoriser le développement des nouvelles technologies dans l'enseignement catholique.

Cet accord vise à accélérer la connexion à l'internet des 9.200 établissements scolaires catholiques de France avant l'an 2000, à aider les enseignants, les élèves et les parents à l'utiliser et à dégager des solutions de connexion et de mises en réseau appropriées aux capacités économiques de chacun.

France Télécom a proposé dans ce but un abonnement privilégié à chaque établissement couplant l'accès à internet sur le réseau professionnel d'Oléane et les services de Wanadoo de France Télécom au site "Scolanet" de l'enseignement catholique.

L'abonnement, d'un montant de 850 F par an en connexion illimitée (hors coût des communications téléphoniques locales), donnera également la possibilité à chaque école de disposer de boîtes aux lettres électroniques personnalisées et de créer son propre site web.

A terme, le projet vise la mise en place d'un véritable réseau interne sécurisé de l'enseignement catholique.

Sur le site "Scolanet", les abonnés pourront bénéficier d'informations administratives et pédagogiques, avoir des relations privilégiées avec les éditeurs éducatifs (premier partenariat avec Bayard presse) et établir des liens avec des sites externes comme ceux de l'Education Nationale ou des évêques de France. "

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Page issue du site du CFP : http://www.chez.com/pedago/
CFP © 1999- 2001 | Dernière modification le 10 janvier 2001

Vos suggestions sont les bienvenues :
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